COMMENTAIRE

"La marée descendante, la "maline" comme disent les marins, laisse à découvert les rochers, depuis la pointe de Foncillon jusqu'au terre-plein du phare.
Les hautes piles de la jetée débarcadère sont presque à sec. On dirait les colonnes de quelque temple ruiné émergeant du lit limoneux du Nil.
Le flot se retire très loin, mettant à nu les prairies d'algues et les grosses pierres moussues."